Il est des hommes.
Il est des femmes.
Ils piétinent leur jardin, au prétexte qu’il est trop petit.
Leur espace est le monde.
Il est des hommes.
Il est des femmes.
Ils brisent le charme des parenthèses enchantées, au prétexte qu’un jour elles se closent.
Le temps est leur infini.
Ils ont des excuses.
Ce sont des voyous.