Elle est la grande prématurée
Ensanglante les draps fous
Elle est son trompe-l’œil
Qui couronne la forêt
Elle est la haute silhouette
Ses jambes ensauvagent
Elle est la saison infinie
Elle la noie dans les flaques
Elle est balustrade
Et aveugle la danse
Elle est le florilège
Ses défausses communes
Elle est le nu sans projet
L’accueil de la maison des pauvres
Elle découvre la peinture
S’embarrasse à poser