Les forêts sont pénibles à regarder.
Si on contrôlait les forêts, je ne parlerais plus du régime sévère.
Je me traduirais en public.
Je me frapperais à coups de masse, à coups de jeux.
J’inaugurerais le monument.
Expliquez. Expliquez. Bonsoir, je ne me souviens plus.
Les forêts, dans les cafés du coin, on dit qu’il n’y en aura bientôt plus.
Leurs victimes irréprochables sont partout, délivrées.